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Bienvenue dans notre Havre, aventuriers ! Laissez vous séduire par cette mystérieuse organisation qu'est le Cercle des Gardiens.
Les débuts de la compagnie
Mar 27 Oct - 19:02 par Admin : Jéricho Kinéas
Salutations, tu viens de faire ton premier pas dans notre ordre. Ouvre donc la porte du savoir et découvre l'Histoire qui a fondée le monde tel que tu le vois.
L'Histoire du Cercle des Gardiens restera gravée dans la pierre pour des siècles. Ses Gardiens ont donné ce qu'ils avaient de plus précieux pour protéger Eorzea : leur vie. Mais laissez-moi vous expliquer comment tout a …
Sujet: Ifkay Hastard : L'instrument de la haine Lun 30 Nov - 0:27
Identité Surnom : Semi-Dragonne. Citation : « La haine n’est qu’une question de point de vue.». Prénom : Ifkay. Nom : Hastard. Sexe : Femme. Race : Ao Ra. Physique : Taille moyenne, très agile, 23 ans . Compétence : Très agile, manie les armes d’hast, discrète. Défaut : Méfiante, double jeu, arrogante, désobéissante. Réputation : Mercenaire, vol à l’étalage. Aime : les armes d’hast, la solitude, le combat, avoir un but. N’aime pas : haie son père, les cibles des contrats, les brocolis. Personnalité : Exprime sa colère et sa haine au combat, déterminée, motivée, rêveuse, loyale, manque de tact parfois, fidèle à ses compagnons. But principal : Se venger de son père. Limites : la fatigue, la nostalgie. Famille : Mère morte, abandonnée de son frère et de son père. Tic : A la fin d'un combat, une larme coule d'un de ses yeux.
Thème :
Ce thème correspond bien à Ifkay car les moments calmes de la musique correspondent aux moments de nostalgie dont souffre le personnage. La flûte qui se mêle fait penser à la nature, la forêt qui entoure Gridania, le lieu où Ifkay entamera une nouvelle vie. La partie rythmée quant à elle fait référence au combat que mène le personnage avec ses émotions négatives.
Histoire :
Ifkay Hastard est une Hyuroise, fille d’un riche marchand et d’une mère douce et délicate. Elle vit dans une belle maison située à Uld’ha avec son frère et sa famille. Son père tient une petite boutique d’armes d’hast : hallebardes, lances, piques… on trouve des armes d’excellente facture chez cette homme, des armes de qualité qui furent rapidement prisées de différents aventuriers mercenaires et collectionneurs de belles armes.
Le père étant trop occupé à travailler, la famille partit pique-niquer aux abords d’Uld’ha, mais ils furent capturés par des mercenaires. Captifs des mercenaires pendant 1 semaine, ceux-ci décidèrent de revendre leurs prisonniers comme esclaves. En effet la rançon demandée au père de la famille n’a jamais était payée. C’est alors que dans un lieu malfamé Ifkay et sa famille fut rachetée pour quelques gils par un homme mystérieux vêtu d’une longue robe marron à capuche.
A son réveil, Ifkay avait les mains et les pieds attachés par une corde. Elle était postée sur ses genoux, alignée avec sa famille. La pièce étant petite, les murs de bois brillaient grâce à une cheminée. Plusieurs tables étaient disposées de part et d’autre contre les murs. Une belle lance exposée au-dessus de la cheminée attira l’attention d’Ifkay. Il y avait d’autres outils : des alambiques, des pinces, des scies et d’autres instruments éparpillés sur différentes tables qui composaient le mobilier sommaire de la pièce. Tout cela ne laissait rien présager de bon.
L’homme vêtu d’une robe marron travaillait. Il était en train de verser une mixture bleutée dans un flacon, il se retourna et il se dirigea vers Ifkay d’un pas déterminé. Il s’accroupit devant elle et lui dit de boire cette potion. Ifkay refusa. L’homme repartit calmement en direction de la cheminée en laissant la mystérieuse potion devant la prisonnière. Il saisit sa lance et la pointa vers la mère d’Ifkay, encore endormie. Le frère d’Ifkay lui hurla de boire la potion d’une traite, comme un râle d’agonie, mais l’arrogance et l’entêtement de la petite diva causa la mort de sa mère. L’homme avait lancé la lance qui se planta dans le cœur de la mère des deux enfants. Le jeune frère hurla à la mort tout son chagrin, mais les sanglots ne furent que de courte durée quand l’homme, calme, reprit la lance pour cette fois-ci la pointer vers le frère comme si rien de tout ça ne venait de se passer. Ifkay, encore sous le choc, accepta de boire la potion. L’homme posa sa lance près d’elle et lui tendit le flacon près des lèvres avec un sourire de satisfaction, puis la jeune fille s’évanouit une fois le contenu du flacon englouti.
A son réveil, la jeune femme ne se sentait pas bien. Une affreuse envie de vomir mélangé à un mal de tête terrible lui rappelait les lendemains de certains dinés de qualité avec sa famille. Une douleur lui parcourait la colonne vertébrale avec un violent engourdissement au-dessus du coccyx, mais aussi dans les mains et les pieds. Quand elle ouvrit les yeux, elle perçu des écailles noir sur le dos de ses mains. Elle fixa l’homme et lui demanda ce qu’il lui était arrivé, et quelle était cette potion. L’homme, éclatant de rire, lui répondit : «Tu vois ce flacon. Il contient l’une des merveilles de l’alchimie dont seuls quelques alchimistes maitrisent le secret. Il s’agit d’un filtre d’illusion, une potion permettant de changer l’apparence, les caractéristiques physiques et même la race d’une personne. J’ai besoin de sujets pour mes expériences. Et l’achat d’un esclave est bien plus aisé que la capture d’un Ao Ra, plutôt rares dans nos contrées.» Le scientifique fou partit se reposer dans une autre pièce en fermant la porte derrière lui.
Ifkay se sentit seule au monde. Mais peu à peu les douleurs disparaissaient et les engourdissements avec. Elle retrouva l’usage de ses membres, ce qui lui causa quelques vertiges à cause de toutes ses nouvelles sensations qui lui arrivèrent d’un coup. Ifkay, déterminée à sortir son frère de cette situation, remarqua que sa queue n’était pas attachée. Elle prit ce hasard pour une chance. Pas encore très habile avec ce nouveau membre, elle fit virevolter sa queue pour tenter de scier ses entraves avec les pointes dorsal de ses vertèbres caudales. Avec quelques difficultés elle réussit à se détacher, attrapa la lance et coupa les liens de son frère. Son frère, toujours sous le choc et plein de rancœur, se précipita vers la porte de sortie en criant : « elle s’échappe ! ». Puis ce dernier sortit et bloqua la porte de l’extérieur puis il prit la fuite.
Ifkay, encore tourmentée, se retrouva nez à nez avec son agresseur qui fondit sur elle. Elle le fixa dans les yeux, toute tremblante, son cœur battant de plus en plus vite. Elle serra la lance en se remémorant les enseignements de son père. Elle jeta un œil sur le corps de sa mère et soudain, prise d’une rage destructrice, elle empala le scientifique désarmé en hurlant et bafouant tous les enseignements moraux de son père. Elle regarda son agresseur agoniser jusqu’au bout en se délectant de la scène. Quelque chose avais changé en elle. Toute souriante elle regarda cette homme souffrir jusqu’à la mort. Sous aucun prétexte elle ne l’achèvera, car elle veut assister à cette scène macabre jusqu’au bout. Etrangement une larme coula le long de son œil. Cette larme représente ce qu’elle était : une jeune femme craintive. Cette goutte se décrocha de son visage pour s’écraser au sol, laissant derrière elle une jeune femme fragile et raffinée, l’ancienne Ifkay.
Actuellement elle vit de contrats de mercenariat sinistres qui lui forgent une expérience de combattante zélée au détriment de la morale. Il lui arrive encore de commettre des vols à l’étalage pour se nourrir. Elle se bat avec la haine et la colère qu’elle renferme depuis son abandon par sa famille. Elle est déterminée un jour à se venger de son père, celui d’après elle qui est responsable de tout ça car il n’a jamais payé la rançon demandée.
(le cible d'un contrat implorant sa pitié.)
Dans sa soif de vengeance elle finit à Gridania où elle reçut un accueil chaleureux de la guilde des aventuriers. Avec sa double personnalité, elle n’eut aucun mal a dissimuler ses souffrances et se faire accepter de tout le monde.
Lors d’une mission d’extermination d’Ixal, elle fut remarquée par un homme en armure. Cet homme l’observait depuis un moment. Il la regardait. En ville, Ifkay conservait une attitude sage et se voulait serviable. Mais à l’extérieur, c’était une vraie furie au combat. Cet homme se doutait que ces deux personnalités opposées l’une de l’autre cachait une sombre histoire. Il l’analysa combattre un long moment et il reconnut l’habileté d’une combattante : des jeux de jambes, des parades dignes de chefs militaires, mêlée à des actes d’improvisations qui se mariaient à une superbe agilité. Il remarqua que les combats menés par cette jeune femme étaient très personnels. Il ressentait les émotions négatives qu’elle exprimait dans ses assauts sur l’adversaire. Il voyait en elle un bon potentiel.
Un soir Ifkay se restaurait tranquillement d’un copieux repas à la guilde des aventuriers de Gridania après une rude journée de labeur. Quand cet homme mystérieux s’installa à sa table : « Salutation, je m’appelle Jéricho. »
Des suites suivront sous forme de Chronique !
Dernière édition par Ifkay le Lun 21 Déc - 21:55, édité 1 fois
Admin : Jéricho Kinéas Admin
Messages : 53 Date d'inscription : 27/10/2015 Age : 31
Sujet: Re: Ifkay Hastard : L'instrument de la haine Lun 30 Nov - 9:24
Merci Ifkay.
Ifkay
Messages : 14 Date d'inscription : 23/11/2015
Sujet: Re: Ifkay Hastard : L'instrument de la haine Lun 30 Nov - 21:09
C'est surtout moi qui doit te dire merci
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Sujet: Re: Ifkay Hastard : L'instrument de la haine
Ifkay Hastard : L'instrument de la haine
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